Cette fois j'ai pas zappé ! Célébrons ce Sunyday en compagnie du charmant Bradley Cooper.
dimanche 28 juin 2015
lundi 22 juin 2015
Chasseuse de la nuit, tome 4 - Jeaniene Frost
Creuser sa tombeDepuis que Cat Crawfield et son amant Bones se sont rencontrés six ans auparavant, ils ont combattu un mort-vivant renégat, lutté contre un maître vampire vengeur et se sont unis l’un à l’autre par le sang. Ils ont bien le droit d’avoir des vacances ! Mais leurs espoirs de vacances ïdylliques à Paris sont vite oubliés quand Cat s’éveille brutalement une nuit. Des visions d’un vampire appelé Gregor, plus puissant que Bones la hantent. Il a également des liens avec son propre passé qu’elle ne connaît même pas.
Gregor croit que Cat lui appartient et rien ne l’arrêtera. Alors que la lutte commence entre le vampire de ses cauchemars et celui de son coeur, Cat comprend qu’elle seule peut briser le pouvoir de Gregor sur elle. Elle aura besoin de toute la force dont elle dispose pour faire disparaître le pire salaud qu’elle ait rencontré... même si cette force peut la conduire à une mort précoce....
Mon avis
Comme tu as pu le constater, j’ai zappé le Sunyday d’hier… pour ma défense, j’étais trop occupée à boire l’apéro, tremper mes divines jambes de gazelle dans la mer et bouquiner sur la plage. Franchement éreintant. Tu n’imagines pas combien je suis heureuse d’être de retour au boulot.
C’est donc en compagnie de ce livre que j’ai terminé ce week-end de pure folie. Comme je le disais suite à ma lecture du troisième tome, cette série est LA série qui ma réconciliée avec les vampires, et ce tome-ci ne fait que le confirmer. Encore plus d’action, encore plus de rebondissements, Jeaniene Frost n’épargne pas ses personnages et n’hésite pas à les sacrifier pour nous offrir une histoire prenante, haletante et parfois bouleversante. Cat et Bones sont pour moi un couple vraiment emblématique de la vraie bonne bit-lit. Cat n’est pas une héroïne malgré elle qui se laisse dominer par son mâle tout en essayant de se convaincre que c’est par amour et pas seulement parce qu’elle n’est qu’une limace, et Bones n’est pas un bellâtre imbu de lui-même qui fait semblant d’être capable de sentiments. Non, Cat est une vraie héroïne, avec de vrais défauts mais surtout de vraies qualités et des vraies couilles – des couilles qui peuvent souffrir quand on tape dedans mais qui produisent de la testostérone, pas des trucs en toc qui font du volume dans le pantalon mais qui ne feront jamais pousser des poils (amis de la métaphore bancale bonjour) –, et Bones est un vrai BMM, de ceux qui n’ont pas besoin de se la péter pour en imposer, et les deux ensemble font un couple équilibré qui s’aime, qui s’engueule, qui se sépare parfois et qui se retrouve toujours, bref, ce serait presque un couple normal, si lui n’était pas un puissant vampire et elle une hybride, quoi.
Quant à l’intrigue, elle se renouvelle à chaque tome, et si on a toujours un petit fond de complots, on ne bouffe pas continuellement de la politique vampirique axée uniquement sur des histoires de guerres de pouvoir et de qui a la plus grosse.
C’est donc en compagnie de ce livre que j’ai terminé ce week-end de pure folie. Comme je le disais suite à ma lecture du troisième tome, cette série est LA série qui ma réconciliée avec les vampires, et ce tome-ci ne fait que le confirmer. Encore plus d’action, encore plus de rebondissements, Jeaniene Frost n’épargne pas ses personnages et n’hésite pas à les sacrifier pour nous offrir une histoire prenante, haletante et parfois bouleversante. Cat et Bones sont pour moi un couple vraiment emblématique de la vraie bonne bit-lit. Cat n’est pas une héroïne malgré elle qui se laisse dominer par son mâle tout en essayant de se convaincre que c’est par amour et pas seulement parce qu’elle n’est qu’une limace, et Bones n’est pas un bellâtre imbu de lui-même qui fait semblant d’être capable de sentiments. Non, Cat est une vraie héroïne, avec de vrais défauts mais surtout de vraies qualités et des vraies couilles – des couilles qui peuvent souffrir quand on tape dedans mais qui produisent de la testostérone, pas des trucs en toc qui font du volume dans le pantalon mais qui ne feront jamais pousser des poils (amis de la métaphore bancale bonjour) –, et Bones est un vrai BMM, de ceux qui n’ont pas besoin de se la péter pour en imposer, et les deux ensemble font un couple équilibré qui s’aime, qui s’engueule, qui se sépare parfois et qui se retrouve toujours, bref, ce serait presque un couple normal, si lui n’était pas un puissant vampire et elle une hybride, quoi.
Quant à l’intrigue, elle se renouvelle à chaque tome, et si on a toujours un petit fond de complots, on ne bouffe pas continuellement de la politique vampirique axée uniquement sur des histoires de guerres de pouvoir et de qui a la plus grosse.
mercredi 17 juin 2015
Au poil ! - Klaire fait Grr
Le livre le plus drôle jamais écrit sur le poil !
Comment s'épiler avec un ouvre-boîte et un reste de vin de blanc ? Comment Jeanne d’Arc a-t-elle failli révolutionner l'épilation du maillot en ticket de métro ? Comment cacher ses repousses en se scotchant des moufles sous les aisselles ? L'épilateur électrique est-il une invention du Malin ? Et surtout : quelle grosse boulette ont bien pu faire les femmes pour MERITER ÇA ?
Autant de questions auxquelles cet ouvrage se propose de livrer des réponses fascinantes, grâce à une enquête en eaux troubles, entre bandes de cire perverses et pinces à épiler fantômes.
INCROYABLE : LA LECTURE DE CE LIVRE FAIT TOMBER LES POILS !*
(* Enfin, à condition de s'épiler en même temps.)
Mon avis
Petit livre sans prétention reçu dans le cadre du dernier Masse Critique (merci Babelio et les éditions Jungle), Au poil ! est un concentré de théories farfelues et de réflexions parfois un peu capillotractées au sujet du poil, cet ennemi international de l’Homme, et surtout de la Femme… Œuvres détournées et dessins burlesques à l’appui, Klaire fait Grr nous fait partager son avis tout personnel à ce sujet, plutôt… poilant. C’est un peu fouillis, un poil irrévérencieux, plutôt brut de décoffrage, mais très rafraîchissant. Ça aurait pu devenir lassant, mais heureusement ça se lit très vite (pile poil le temps d’attente chez le médecin…) et il n’y a pas de longueurs inutiles.
Pas le roman de l’année donc, mais un petit livre amusant qui vaut le détour, quand on aime l’humour potache et les sujets un peu… gras. ^^ Moi en tout cas, je suis conquise !
Pas le roman de l’année donc, mais un petit livre amusant qui vaut le détour, quand on aime l’humour potache et les sujets un peu… gras. ^^ Moi en tout cas, je suis conquise !
mardi 16 juin 2015
La Malerune, tome 1 - Pierre Grimbert
Les armes des GaramontUne bien étrange paire se présente aux portes du château Garamont : un sorcier autoritaire et susceptible, accompagné d'un homme-loup aussi effrayant que noble de cœur. Pour la jeune Ariale, retenue prisonnière dans sa chambre, nul doute qu'ils ont un lien avec le chevalier Eras, son père mystérieusement disparu...
Une compagnie d'aventuriers des plus inattendues naît alors, et part à la recherche du chevalier Eras de Garamont. Leur objectif : percer le secret de sa quête.
Un roman incontournable, par l'auteur du Secret de Ji, le best-seller de la fantasy francophone.
Mon avis
Depuis le temps que je l’avais sur mes étagères celui-là, il était temps que le je lise !
Mon avis va être court… Voilà de la bonne vieille fantasy française, dynamique et très abordable, pas aussi violente que celle de Michel Robert mais tout aussi prenante. Je ne me suis pas ennuyée une seule minute, il y a très peu de temps morts, pour ne pas dire pas du tout, et Pierre Grimbert a su poser son univers avec talent et minutie, à tel point que jamais je ne me suis sentie perdue ou submergée d’informations, mais sans pour autant en faire un récit lourd et trop descriptif.
J’ai hâte de voir ce que Michel Robert a fait de la suite, sous la direction de Grimbert. Le mélange des deux styles promet quelque chose de vraiment très sympa.
Mon avis va être court… Voilà de la bonne vieille fantasy française, dynamique et très abordable, pas aussi violente que celle de Michel Robert mais tout aussi prenante. Je ne me suis pas ennuyée une seule minute, il y a très peu de temps morts, pour ne pas dire pas du tout, et Pierre Grimbert a su poser son univers avec talent et minutie, à tel point que jamais je ne me suis sentie perdue ou submergée d’informations, mais sans pour autant en faire un récit lourd et trop descriptif.
J’ai hâte de voir ce que Michel Robert a fait de la suite, sous la direction de Grimbert. Le mélange des deux styles promet quelque chose de vraiment très sympa.
dimanche 14 juin 2015
dimanche 7 juin 2015
C'est Sunyday !... spécial tag
Les tags, c'est pas vraiment ma tasse de café, mais ça a l'air d'être un peu la mode, mais jusque là il semblerait que personne n'a jugé bon d'en créer un sur LE sujet vraiment important dans la vie : les beaux mâles musclés (ou alors je l'ai manqué, toute perdue que je suis au fond de ma caverne). Donc moi je dis qu'il manque quelque chose dans la blogosphère pour que le monde soit parfait, et je me dévoue.
Je crée aujourd'hui le tag BMM.
Tadaaaa !
Allez, lançons-nous. Questions :
1. Quel est ton best BMM dans un livre ?
Pour moi ce sera Barrons, Merci.
2. Quel est ton best BMM dans une série TV ?
C'est quoi cette question ?? (oui, bon... ça va, hein). Dean Winchester ! Who else ?
I think aussi. |
3. Quel est ton best BMM dans un film ?
Hmmmm... Wolverine...
4. Quel est ton best BMM dans ton iPod ?
Le Miam Boy !!!
5. Quel est ton best BMM forever ?
Rhoooonon, trop dure la question, j'peux pas choisir... Bon allez, pour trancher, je vais dire le Sunyboy, en même temps si je l'ai laissé m'épouser c'est pas pour rien, mais t'auras pas de photo ! Bon allez, t'auras quand même une image de fesses, juste pour le plaisir.
Et parce que sans mâles moches et mous on ne se rendrait pas de la chance qu'on a d'avoir des BMM à se mettre dans la rétine, voici la partie "Beaux Mâles... Ou Pas".
6. Quel est le BMOP que tout le monde hurle à la mort devant, sauf toi, tu hurles de douleur tellement tes yeux saignent.
Robert Pattinson, aka The Endive.
Ouille, mes yeux... |
7. Quel est le BMOP que t'as honte d'avouer que tu lui trouves, malgré tout, en dépit du bon sens, à l'insu de ton plein gré, un certain charme ?
Zlatan Ibrahimovic. Me demande pas, j'sais pas...
8. Quel est ton worst BMOP forever ?
Y'en a plein. Mais le premier qui me vient à l'esprit, c'est Franck Ribéry. Il y a tellement peu de vie dans ses yeux... (je veux dire, une vie plus évoluée que le protozoaire, quoi) (et j'ai beau chercher une photo qui lui rendre un peu service, je trouve pas...) (mais vraiment pas) (ah si tiens, j'en ai une).
Voilààààà !
jeudi 4 juin 2015
Le meilleur des mondes - Aldous Huxley
Défi, réquisitoire, utopie, ce livre mondialement célèbre, chef-d’œuvre de la littérature d'anticipation, a fait d'Aldous Huxley l'un des témoins les plus lucides de notre temps.
« Aujourd'hui, devait écrire l'auteur près de vingt ans après la parution de son livre, il semble pratiquement possible que cette horreur s'abatte sur nous dans le délai d'un siècle. Du moins, si nous nous abstenons d'ici là de nous faire sauter en miettes... Nous n'avons le choix qu'entre deux solutions : ou bien un certain nombre de totalitarismes nationaux, militarisés, ayant comme racine la terreur de la bombe atomique, et comme conséquence la destruction de la civilisation (ou, si la guerre est limitée, la perpétuation du militarisme) ; ou bien un seul totalitarisme supranational, suscité par le chaos social résultant du progrès technologique. »
Mon avis
Comment dire que je m’attendais à un chef d’œuvre, comme il est annoncé un peu partout, et que je me suis incroyablement ennuyée ?
Certes, si on se mettait au moment de sa rédaction, à savoir les années 1930, j’imagine qu’on y trouverait un récit d’anticipation plausible et effrayant, mais moi j’ai trouvé ça désuet (dans le sens péjoratif du terme) et glauque, mou et lent, et un peu niais… La plupart des gens y voient une critique sociale et politique, voire une réflexion philosophique sur l’humanité et ce qu’elle pourrait devenir, mais moi, comme tu le sais, ce genre d’écrits ne m’intéresse pas. Je recherche de l’aventure, de l’action, des émotions, tout ce que ce livre ne contient pas. Les personnages sont plats et vides, et c’est bien le but de cette société basée sur l’absence de liens amoureux et de parenté et d’émotions violentes telles que l’amour, la haine, la joie et le désespoir, mais je m’attendais à ce que les personnages porteurs de cette histoire aillent à l’encontre de cette norme et chamboulent tout ça, mais non. Ils restent plats, et vides. Le seul qui aurait pu avoir un peu de profondeur finit par s’engluer dans un extrémisme religieux irraisonné et ridicule, après avoir servi tout le long de l’histoire le bon vieux mythe du bon sauvage, encore très à la mode dans le première partie du 20e siècle mais franchement éculé aujourd’hui.
En bref, ce livre aurait fait un sujet d’analyse intéressant dans un cours d’histoire de l’anthropologie, mais comme roman de dystopie, c’est pas vraiment transcendant…
Certes, si on se mettait au moment de sa rédaction, à savoir les années 1930, j’imagine qu’on y trouverait un récit d’anticipation plausible et effrayant, mais moi j’ai trouvé ça désuet (dans le sens péjoratif du terme) et glauque, mou et lent, et un peu niais… La plupart des gens y voient une critique sociale et politique, voire une réflexion philosophique sur l’humanité et ce qu’elle pourrait devenir, mais moi, comme tu le sais, ce genre d’écrits ne m’intéresse pas. Je recherche de l’aventure, de l’action, des émotions, tout ce que ce livre ne contient pas. Les personnages sont plats et vides, et c’est bien le but de cette société basée sur l’absence de liens amoureux et de parenté et d’émotions violentes telles que l’amour, la haine, la joie et le désespoir, mais je m’attendais à ce que les personnages porteurs de cette histoire aillent à l’encontre de cette norme et chamboulent tout ça, mais non. Ils restent plats, et vides. Le seul qui aurait pu avoir un peu de profondeur finit par s’engluer dans un extrémisme religieux irraisonné et ridicule, après avoir servi tout le long de l’histoire le bon vieux mythe du bon sauvage, encore très à la mode dans le première partie du 20e siècle mais franchement éculé aujourd’hui.
En bref, ce livre aurait fait un sujet d’analyse intéressant dans un cours d’histoire de l’anthropologie, mais comme roman de dystopie, c’est pas vraiment transcendant…
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