La Prophétie du GrisUN GUERRIER DE SURTERRE, UN FILS DU SOLEIL.
NOUS RENDRA LA LUMIÈRE, OU NE NOUS RENDRA RIEN.
Comment cette prophétie pourrait-elle concerner Gregor, adolescent ordinaire, menant une vie ordinaire dans une ville que chacun pense connaître ?
Mais New-York a ses secrets. Et un jour, Gregor bascule dans un nouvel univers, dans une ville sous la ville, un monde derrière le monde, plein de défis et de créatures insolites.
Un monde qui attend sa venue depuis des siècles.
Car Gregor est un vrai héros.
Seulement, il ne le sait pas encore...
Mon avis
Après le coup de cœur (ou plutôt le coup de boule) Hunger Games, il me tardait de lire ce que cette dame pouvait nous pondre d’autre. Et voilà que cette série publiée bien avant fait son apparition en France. Parfait !
Moins percutante que la trilogie sus-mentionnée, la série Gregor se situe dans un autre registre, plus axé fantasy, et s’adresse à un public un peu plus jeune (quoique, je n’ai pas rajeuni depuis ma lecture de Hunger Games). Quelque chose de très différent donc, une atmosphère bien moins lourde, même si les aventures de Gregor et de sa petite sœur Moufle ne sont pas toujours très réjouissantes, des personnages un peu moins complexes (mais tout aussi attachants (ou méprisables, selon les cas)) et des intrigues politiques moins présentes. On retrouve toutefois ce qui, pour moi, est LA marque de fabrique de la dame : son absence de scrupules envers ses personnages, qu’elle mutile et tue sans crier gare, comme ça, pouf ! Ça continue de surprendre, ça prend parfois à la gorge, mais après tout, c’est son histoire, ses personnages, et elle en fait bien ce qu’elle veut, pourvu que ça serve un récit riche en émotions !
Et de l’émotion, il y en a : amitiés, inimitiés, haine parfois, peur, angoisse, déception, joie, on a de tout, et on passe d’une action à l’autre sans trop avoir le temps de souffler. Gregor est un gosse courageux à la cause duquel on adhère bien volontiers, et je me suis même prise d’affection pour des… cafards. Oui.
On a donc là une petite série bien sympathique, certes moins intense que les célèbres Hunger Games mais qui laisse penser que le succès de Suzanne Collins n’est pas qu’un coup de bol. Une affaire à suivre !
Moins percutante que la trilogie sus-mentionnée, la série Gregor se situe dans un autre registre, plus axé fantasy, et s’adresse à un public un peu plus jeune (quoique, je n’ai pas rajeuni depuis ma lecture de Hunger Games). Quelque chose de très différent donc, une atmosphère bien moins lourde, même si les aventures de Gregor et de sa petite sœur Moufle ne sont pas toujours très réjouissantes, des personnages un peu moins complexes (mais tout aussi attachants (ou méprisables, selon les cas)) et des intrigues politiques moins présentes. On retrouve toutefois ce qui, pour moi, est LA marque de fabrique de la dame : son absence de scrupules envers ses personnages, qu’elle mutile et tue sans crier gare, comme ça, pouf ! Ça continue de surprendre, ça prend parfois à la gorge, mais après tout, c’est son histoire, ses personnages, et elle en fait bien ce qu’elle veut, pourvu que ça serve un récit riche en émotions !
Et de l’émotion, il y en a : amitiés, inimitiés, haine parfois, peur, angoisse, déception, joie, on a de tout, et on passe d’une action à l’autre sans trop avoir le temps de souffler. Gregor est un gosse courageux à la cause duquel on adhère bien volontiers, et je me suis même prise d’affection pour des… cafards. Oui.
On a donc là une petite série bien sympathique, certes moins intense que les célèbres Hunger Games mais qui laisse penser que le succès de Suzanne Collins n’est pas qu’un coup de bol. Une affaire à suivre !