Après papa John, grand frère Dean et petit frère Sam, il ne m'en manquait plus qu'un pour compléter la saga Supernatural : Misha Collins, alias Castiel, l'ange un peu décalé, mais tellement mignon... C'est chose faite !
dimanche 31 mai 2015
mercredi 27 mai 2015
Tag "Extraordinary Means" - Merci Chani
Voilà, je m'ai fait taguer par Chani, y'a plus qu'à !
Je copie-colle : ce tag a été créé par l’auteur Robyn Schneider et traduit en
français par Justine de Fairy Neverland, qui a au passage lancé sa
diffusion dans la sphère francophone. Comme le dit cette dernière, l’idée de ce
tag est un peu « la fin justifie les moyens » ; il s’agit de savoir jusqu’où
vous seriez prêts à aller pour certains de vos auteurs et livres favoris.
Et maintenant, je me lance...
1 – Je renoncerais à mon abonnement
internet pendant un mois pour une première édition de ce livre dédicacée par
l’auteur.
N'importe quel livre de Stephen King, mais si je devais en choisir un seul, ce serait Simetierre. Ou Rose Madder. Ou Charlie. Arf, je sais pas...
N'importe quel livre de Stephen King, mais si je devais en choisir un seul, ce serait Simetierre. Ou Rose Madder. Ou Charlie. Arf, je sais pas...
2 – Je renoncerais aux pizzas pendant un
an si je pouvais être assise aux côtés de cet auteur pendant un vol longue
distance.
Brent Weeks, auteur des séries L'ange de la nuit et Le porteur de lumière. Parce que j'adore son humour.
3 – Je me coltinerais des milliers
d’heures de pub si cela assurait l’adaptation cinématographique de ce livre par
Hollywood.
La série Fever de Karen Marie Moning, juste pour baver devant David Gandy, parce que oui, une adaptation cinématographique ne peut être réalisée qu'avec David Gandy dans le rôle de Barrons.
4 – Je ne lirais jamais plus de nouveau
livre si je pouvais vivre dans le monde de celui-ci.
Et là, je vais être super originale : Harry Potter. Inutile d'expliquer pourquoi, vu que quasiment tout le monde répondrait la même chose...
5 – Je laisserais volontiers mon
historique Google être dévoilé publiquement si je pouvais être meilleur(e)
ami(e) avec cet auteur.
Il y a quelques mois j'aurais dit Terry Pratchett, malheureusement récemment disparu... Du coup, je sais pas... une auteure avec de l'humour et de l'esprit, comme Darynda Jones ou Jennifer L. Armentrout.
6 – Je donnerais tout ce que je possède à Emmaüs si je pouvais sortir avec ce personnage dans la vraie vie.
Il y a beaucoup de BMM dans les livres qui me font saliver, voire plus si affinités... Là comme ça, à chaud, j'aurais dit Barrons, évidemment. Mais sincèrement, m'imaginer, dans la vraie vie, avec un Barrons, un Reyes, un Daemon ou un Reyn, le genre de type que tu t'évanouis à chaque fois que ton œil tombe dessus, que tu tachycardes à chaque fois qu'il t'effleure le gros orteil, que tu te couvres de transpiration à chaque fois qu'il te dit "passe-moi le sel", je pense que ça serait vite invivable. A la limite, pour taper dans les mecs "normaux", je dirais Lucas de Easy.
Mais franchement, mon Sunyboy me suffit amplement.
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Et maintenant, je suis censée taguer à mon tour. Je crois que c'est la question la plus difficile ^^'
Marion F, si ça te dit... et n'importe qui d'autre qui passerait dans le coin, je serai ravie de lire vos réponses !
mardi 26 mai 2015
Ten tiny breaths, tome 2 - K. A. Tucker
MentirDepuis la mort de ses parents, Livie se répète en boucle la dernière phrase de son père: "Rends moi fier." Elle a organisé sa vie en fonction de ces mots. Elle intègre l'université de Princeton avec un seul plan en tête: obtenir les meilleures notes et être admise en médecine.
Seulement Livie n'avait pas tout prévu: ni de partager sa chambre avec une sympathique fêtarde à qui elle ne peut rien refuser ni toutes ces soirées arrosées dans lesquelles celle-ci l'entraîne, et encore moins de croiser le chemin du beau et ténébreux Ashton, le capitaine de l'équipe d'aviron.
Pour la première fois de sa vie, elle est confrontée à des choix. Travailler ses cours ou faire la fête, sortir avec Connor, jeune irlandais bien sous tous rapports et meilleur ami d'Ashton, ou succomber au charme du capitaine.
Elle ne se reconnaît pas et, pourtant, elle sent qu'il est temps de ne plus se laisser dicter sa vie...
Mon avis
*Attention spoil*
J’avais adoré le premier tome, Respire, dans lequel on découvrait Kacey, la grande sœur toute cassée de Livie. Dans ce second tome, dans lequel on suit la petite sœur trois ans plus tard, je me suis plutôt fait chier. Je n’ai pas vraiment trouvé de but à cette histoire, hormis la romance passionnée de Livie avec Ashton et le pseudo-triangle amoureux bancal avec Connor dans le rôle du troisième angle. Alors certes, j’ai apprécié la façon dont le personnage d’Ashton est amené et dont son image évolue continuellement, j’ai trouvé Livie plutôt sympa bien que peu convaincante, mais le gentil troisième angle bien propre sur lui qui se transforme comme par hasard en gros porc sous l’effet de trois verres de tequila juste au moment où ça arrange tout le monde (et qui redevient normal ensuite, parce que bon, ça serait trop cruel si le prince charmant était vraiment un con, et pas juste victime de l’alcool), j’ai trouvé ça vraiment trop gros, trop facile, trop… ennuyeux.
Ça reste un livre qui se lit vite et bien, mais bon, vu l’intensité du premier tome, je ne m’attendais pas à quelque chose d’aussi mou du genou et d’aussi convenu (et pour ne rien arranger, la couverture est moche, pfff).
J’avais adoré le premier tome, Respire, dans lequel on découvrait Kacey, la grande sœur toute cassée de Livie. Dans ce second tome, dans lequel on suit la petite sœur trois ans plus tard, je me suis plutôt fait chier. Je n’ai pas vraiment trouvé de but à cette histoire, hormis la romance passionnée de Livie avec Ashton et le pseudo-triangle amoureux bancal avec Connor dans le rôle du troisième angle. Alors certes, j’ai apprécié la façon dont le personnage d’Ashton est amené et dont son image évolue continuellement, j’ai trouvé Livie plutôt sympa bien que peu convaincante, mais le gentil troisième angle bien propre sur lui qui se transforme comme par hasard en gros porc sous l’effet de trois verres de tequila juste au moment où ça arrange tout le monde (et qui redevient normal ensuite, parce que bon, ça serait trop cruel si le prince charmant était vraiment un con, et pas juste victime de l’alcool), j’ai trouvé ça vraiment trop gros, trop facile, trop… ennuyeux.
Ça reste un livre qui se lit vite et bien, mais bon, vu l’intensité du premier tome, je ne m’attendais pas à quelque chose d’aussi mou du genou et d’aussi convenu (et pour ne rien arranger, la couverture est moche, pfff).
dimanche 24 mai 2015
mercredi 20 mai 2015
The book of Ivy - Amy Engel
Voilà cinquante ans qu’une guerre nucléaire a décimé la population mondiale. Un groupe de survivants d’une dizaine de milliers de personnes a fini par se former, et ce qui reste des États-Unis d’Amérique s’est choisi un président. Mais des deux familles qui se sont affrontées pour obtenir le pouvoir, la mienne a perdu. Aujourd’hui, les fils et les filles des adversaires d’autrefois sont contraints de s’épouser, chaque année, lors d’une cérémonie censée assurer l’unité du peuple.
J’ai seize ans cette année, et mon tour est venu.
Je m’appelle Ivy Westfall, et je n’ai qu’une seule et unique mission dans la vie : tuer le garçon qu’on me destine, Bishop, le fils du président. Depuis ma plus tendre enfance, je me prépare pour ce moment. Peu importent mes sentiments, mes désirs, mes doutes. Les espoirs de toute une communauté reposent sur moi. Le temps de la rébellion approche…
Bishop doit mourir. Et je serai celle qui le tuera.
Née pour trahir et faite pour tuer… Sera-t-elle à la hauteur ? À la fois histoire d’amour torturée, thriller psychologique et dystopie cruelle, The Book of Ivy vous entraîne dans un compte à rebours haletant dont vous ne sortirez pas indemnes.
Mon avis
Moui, moui, moui…
Après tout ce que j’en avais lu, j’attendais de ce livre que ce soit quelque chose d’énorme, la dystopie de l’année, le truc qui chamboulerait mon petit neurone en mal d’aventures. Bon, soyons honnêtes, j’ai apprécié cette lecture. Mais bon, franchement pas de quoi friser l’hystérie.
Déjà, pour le côté dystopie, c’est surtout un fond sonore, la scène qui permet à Ivy et Bishop de jouer leur histoire. Mais sérieusement, ça aurait pu être un roman historique, de fantasy ou de science-fiction, ça aurait donné la même chose. Là, j’ai juste eu la sensation que l’étiquette « dystopie » n’est qu’un argument marketing, parce que la dystopie, ça fait vendre (la preuve, je l’ai acheté. Bien joué !)
Non, là, le contexte n’a au final que peu d’importance, il n’est là que pour servir l’histoire de nos deux héros qui, certes, sont attendrissants, mais n’ont pas vraiment l’étoffe d’une Katniss ou d’un Quatre. Du coup, on oscille plutôt entre la romance et le drame, et il s’y passe au final assez peu de choses, du moins rien de très extraordinaire, seulement une histoire naissante entre deux êtres qui à la base n’avaient pas envie d’être ensemble. Même la mission d’Ivy se retrouve complètement noyée dans la masse, et on n’en entrevoit réellement le fil que dans les cinquante dernières pages.
Bref, un livre qui se lit bien, mais une petite déception dans le sens où je m’attendais à beaucoup mieux et beaucoup plus torturé. Cela dit, je compte sur le second tome, à paraître en VO en novembre 2015, pour rehausser un peu le niveau…
Après tout ce que j’en avais lu, j’attendais de ce livre que ce soit quelque chose d’énorme, la dystopie de l’année, le truc qui chamboulerait mon petit neurone en mal d’aventures. Bon, soyons honnêtes, j’ai apprécié cette lecture. Mais bon, franchement pas de quoi friser l’hystérie.
Déjà, pour le côté dystopie, c’est surtout un fond sonore, la scène qui permet à Ivy et Bishop de jouer leur histoire. Mais sérieusement, ça aurait pu être un roman historique, de fantasy ou de science-fiction, ça aurait donné la même chose. Là, j’ai juste eu la sensation que l’étiquette « dystopie » n’est qu’un argument marketing, parce que la dystopie, ça fait vendre (la preuve, je l’ai acheté. Bien joué !)
Non, là, le contexte n’a au final que peu d’importance, il n’est là que pour servir l’histoire de nos deux héros qui, certes, sont attendrissants, mais n’ont pas vraiment l’étoffe d’une Katniss ou d’un Quatre. Du coup, on oscille plutôt entre la romance et le drame, et il s’y passe au final assez peu de choses, du moins rien de très extraordinaire, seulement une histoire naissante entre deux êtres qui à la base n’avaient pas envie d’être ensemble. Même la mission d’Ivy se retrouve complètement noyée dans la masse, et on n’en entrevoit réellement le fil que dans les cinquante dernières pages.
Bref, un livre qui se lit bien, mais une petite déception dans le sens où je m’attendais à beaucoup mieux et beaucoup plus torturé. Cela dit, je compte sur le second tome, à paraître en VO en novembre 2015, pour rehausser un peu le niveau…
mardi 19 mai 2015
Pause ciné : Avengers - L'ère d'Ultron
Comme tu peux le constater, en ce moment on rattrape notre retard cinématographique avec Chouchou - quand on y pense. On a honteusement zappé Divergente 2 (mais je crois qu'il a fait exprès de ne pas me le rappeler), mais là, il était hors de question que je manque le second volet des Avengers. Souviens-toi, j'avais beaucoup salivé lors du premier. Avec un casting pareil, comment faire autrement ? Eh ben là, tout pareil. Même Scarlett Johansson est tellement bonne que j'arrive même pas à être jalouse.
Bon, mettons-nous en situation : chronologiquement, on atterrit pas mal de temps après les événements du premier. Pas mal de choses ont changé et nos sexy gentils héros se retrouvent un peu livrés à eux-mêmes. Si tu jettes un coup d’œil de temps en temps à la série qui passe en ce moment à la télé, tu comprends plus ou moins ce qui s'est passé, sinon faut réfléchir un peu mais ne t'en fais pas, ce genre de film n'est pas fait pour te faire brûler les méninges et tu comprends assez vite de quoi il retourne.
On commence donc, logiquement, par le générique, et à partir de là, tu te prends 2 heures et demie d'action à tout va, de beaux gosses qui sautent partout et font tout sauter, d'humour décalé et même d'un petit peu d'émotion. Les effets spéciaux sont explosifs, les scènes de combat hyper bien chorégraphiées et les costumes délicieusement moulants. Les grands cinéphiles diront probablement que ça manque un peu de profondeur et que ce n'est qu'un énième blockbuster hollywoodien, mais moi il ne m'en faut pas plus pour prendre mon pied.
lundi 18 mai 2015
Belladone, tome 1 - Michelle Rowen
Nuit de sangJillian était une fille sans histoire jusqu’à ce qu’on la prenne en otage. Désormais, il ne lui reste plus qu’un choix à faire : mourir des mains de Declan, l’assassin dhampire qui la retient prisonnière, ou succomber aux effets secondaires du poison qu’on lui a injecté : la Belladone. Un venin qui fait d’elle l’arme ultime dans la guerre contre les vampires. Le seul espoir de Jill consiste à convaincre son kidnappeur de la relâcher, mais comment toucher le cœur d’un homme qui n’a jamais ressenti aucune émotion ?
Mon avis
Encore un livre que je n’ai pris que parce que c’est un Milady, et parce que la couverture est jolie (l’un allant généralement avec l’autre). Encore un livre de bit-lit qui ne révolutionne pas grand-chose mais qui se laisse lire.
L’héroïne, Jillian, c’est la fille tout ce qu’il y a de plus basique qui se trouve au mauvais endroit au mauvais moment. Là où j’ai apprécié son personnage par rapport aux chaudasses couillues qu’on a d’habitude, c’est qu’elle ne se transforme pas brusquement en une warrior qui déchire tout juste en levant le petit doigt. Malgré ce qui lui arrive, elle reste égale à elle-même, elle ne se met pas à porter des flingues dans son string et dans ses bottes de cuir – elle ne se met même pas à porter des bottes de cuir et autres colliers à clous qui vont avec, dis donc ! –, elle ne se met pas à copuler avec chaque mâle qui passe (et à avoir douze orgasmes d’affilée quand elle le fait), et elle n’acquiert pas brusquement le caractère intraitable de toute héroïne de bit-lit qui se respecte (ou pas, justement). Non, Jillian, reste elle-même, à savoir une gonzesse qui n’aspire qu’à avoir une petite vie tranquille mais qui n’a plus vraiment le choix, alors elle fait avec mais continue de douter, d’avoir peur et d’être juste une gonzesse. La simplicité, c’est rafraîchissant, aussi, des fois.
Sinon, si l’histoire ne bénéficie pas d’assez d’originalité pour qu’on se penche dessus ici, elle reste intéressante, avec une intrigue plutôt bien ficelée et pas mal de rebondissements et de petites révélations qui tiennent en haleine tout du long.
Au final, si je n’ai pas eu de grande révélation (de toute façon je ne m’y attendais pas, de la bit-lit reste de la bit-lit), je n’ai pas été déçue.
L’héroïne, Jillian, c’est la fille tout ce qu’il y a de plus basique qui se trouve au mauvais endroit au mauvais moment. Là où j’ai apprécié son personnage par rapport aux chaudasses couillues qu’on a d’habitude, c’est qu’elle ne se transforme pas brusquement en une warrior qui déchire tout juste en levant le petit doigt. Malgré ce qui lui arrive, elle reste égale à elle-même, elle ne se met pas à porter des flingues dans son string et dans ses bottes de cuir – elle ne se met même pas à porter des bottes de cuir et autres colliers à clous qui vont avec, dis donc ! –, elle ne se met pas à copuler avec chaque mâle qui passe (et à avoir douze orgasmes d’affilée quand elle le fait), et elle n’acquiert pas brusquement le caractère intraitable de toute héroïne de bit-lit qui se respecte (ou pas, justement). Non, Jillian, reste elle-même, à savoir une gonzesse qui n’aspire qu’à avoir une petite vie tranquille mais qui n’a plus vraiment le choix, alors elle fait avec mais continue de douter, d’avoir peur et d’être juste une gonzesse. La simplicité, c’est rafraîchissant, aussi, des fois.
Sinon, si l’histoire ne bénéficie pas d’assez d’originalité pour qu’on se penche dessus ici, elle reste intéressante, avec une intrigue plutôt bien ficelée et pas mal de rebondissements et de petites révélations qui tiennent en haleine tout du long.
Au final, si je n’ai pas eu de grande révélation (de toute façon je ne m’y attendais pas, de la bit-lit reste de la bit-lit), je n’ai pas été déçue.
dimanche 17 mai 2015
C'est Sunyday ! (#31)
Jared Padalecki – je lui préfère largement Jensen, mais comme je sais qu’il plait beaucoup, et comme il reste agréable à reluquer, j’ai décidé de lui faire tout de même l’honneur d’un Sunyday.
mardi 12 mai 2015
Les sept clefs du pouvoir, tome 7 - Garth Nix
Dimanche fatalLe premier jour, il y eut une énigme.
Le deuxième jour, ce fut l'obscurité.
Le troisième jour vint le déluge.
Le quatrième jour, ce fut la guerre.
Le cinquième jour survient l'effroi.
Le sixième jour, ce fut le chaos.
Le septième jour eut lieu le dernier combat.
Mon avis
Voilà, on arrive à la fin… Que dire… Je dois avouer que j’avais peur que ça finisse en eau de boudin et que ce septième et dernier tome achève de me lasser. Heureusement, ça n’a pas été le cas. Si je n’y ai toujours pas trouvé le récit exaltant que j’espérais au début de cette série, j’ai tout même pris du plaisir à lire la conclusion des extraordinaires aventures du jeune Arthur. Je ne donnerai pas de détails sur la fin histoire de ne pas spoiler, mais je dirai tout de même qu’elle est parfaite et laisse la place à l’imagination du lecteur pour la suite.
Pour faire une conclusion globale sur la série, tu auras compris qu’elle n’a pas vraiment répondu à mes attentes, mais peut-être en attendais-je trop. N’oublions pas qu’il s’agit d’une série jeunesse et, si elle reste assez complexe, elle tient tout de même ses engagements de ce côté-là. L’imagination de Garth Nix semble sans bornes (trop ?) et son talent de conteur est indéniable.
Pour faire une conclusion globale sur la série, tu auras compris qu’elle n’a pas vraiment répondu à mes attentes, mais peut-être en attendais-je trop. N’oublions pas qu’il s’agit d’une série jeunesse et, si elle reste assez complexe, elle tient tout de même ses engagements de ce côté-là. L’imagination de Garth Nix semble sans bornes (trop ?) et son talent de conteur est indéniable.
dimanche 10 mai 2015
C'est Sunyday ! (#30)
D'habitude, je suis pas trop fan des chevelus, mais là... je veux bien. Jason Momoa, à vos mirettes mesdemoiselles.
Et voilà le joli petit fessier rebondi du monsieur :
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