La malédiction de l’elfe noirÉcosse, 1513. Célèbre dans tout le royaume pour ses exploits guerriers et pour sa beauté ravageuse à laquelle aucune femme ne résiste, le comte de Dalkeith, surnommé l’Épervier, est le grand favori de la reine. Ce qui lui vaut la jalousie du roi et de son fou, Adam Black, qui fomentent une terrible conspiration à son encontre : l’Épervier sera contraint d’épouser Adrienne de Simone, une jeune captive venue d’un autre temps.
Mon avis
*Flashback – lu en juillet 2013*
Voilà, un livre lu il y a un an et demi donc, mais contrairement aux trois quarts des livres lus dans l’intervalle, il m’en reste quand même quelque chose, d’une parce que je l’ai lu aux Etats-Unis (ça marque), de deux parce j’en avais discuté un peu avec mon patron au petit-dèj là-bas (ça marque aussi, hein), et de trois parce qu’il m’avait plutôt plu, mais pas autant que la série Fever de cette chère et idolâtrée KMM.
Globalement, ce que j’en avais dit à mon boss, c’est que c’est un livre purement pour gonzesses, une bonne vieille romance avec un bon vieux BMM sur fond d’histoire fantastique sympathique et plutôt facile. Bien différent des Fever, pas aussi addictif, mais idéal à lire quand on fait des journées de 12h à 6000km de chez soi (ou, de manière plus générale, qu’on a le cerveau en gelée et qu’on a envie de s’évader (et d’éviter les discussions boulot à 7h du mat’) sans avoir à relire trois fois les mêmes pages).
Voilà, un livre lu il y a un an et demi donc, mais contrairement aux trois quarts des livres lus dans l’intervalle, il m’en reste quand même quelque chose, d’une parce que je l’ai lu aux Etats-Unis (ça marque), de deux parce j’en avais discuté un peu avec mon patron au petit-dèj là-bas (ça marque aussi, hein), et de trois parce qu’il m’avait plutôt plu, mais pas autant que la série Fever de cette chère et idolâtrée KMM.
Globalement, ce que j’en avais dit à mon boss, c’est que c’est un livre purement pour gonzesses, une bonne vieille romance avec un bon vieux BMM sur fond d’histoire fantastique sympathique et plutôt facile. Bien différent des Fever, pas aussi addictif, mais idéal à lire quand on fait des journées de 12h à 6000km de chez soi (ou, de manière plus générale, qu’on a le cerveau en gelée et qu’on a envie de s’évader (et d’éviter les discussions boulot à 7h du mat’) sans avoir à relire trois fois les mêmes pages).
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