Cette semaine, je ne t’ai pas fait l’honneur de t’abreuver de ma délicieuse prose (c’est le risque quand on s’attaque à un pavé façon Richard Morgan), alors pour me faire pardonner, aujourd’hui je vais te faire frétiller devant un joli petit français. Je parle bien sûr de Gaspard Ulliel. Je te laisse le dévorer tranquille. (Encore une fois, je n'ai pas pu me résoudre à faire un tri, tu m'en voudras toujours pas, hein.)
La seule capture d’écran du passage de Jacquou le Croquant dans lequel il montre son gentil postérieur que j’ai pu trouver est floutée pile à l’endroit stratégique. Nan mais franchement, y’en a qui ont pas honte. Quelle hérésie !!
Mais non, ne désespère pas, j’en ai quand même trouvé une, et en plus… elle bouge ! Allez, c’est cadeau…
Bon ben j'avoue que là, je ne suis pas très sensible au charme de ce monsieur. Ouais je sais, je suis difficile.
RépondreSupprimerBah, il en faut pour tous les goûts... ça en laisse plus pour les autres! ^^
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