Depuis des millénaires, un tournoi oppose des anges de l'Ordre aux légions du Chaos. C'est le jeu du pouvoir. Les champions s'affrontent à coups d'épées flamboyantes lors de duels qui sont ignorés des humains. Jusqu'au jour où… en sortant du restaurant où elle travaille, la jeune Ayati assiste à une lutte à mort.
Elle attire aussitôt l'attention des deux camps, notamment de Sammaël, le prince déchu. Des signes apparaissent sur Terre annonçant l'Apocalypse. Engagée malgré elle dans l'ultime bataille, Ayati devra risquer son âme et mettre en péril son amour.
Deux adolescents amoureux aux prises avec les forces du chaos… Un thème éternel au service d'une fantasy ultra-contemporaine. Un récit aux accents de thriller à couper le souffle. Une écriture extrêmement fluide au service d'une intrigue haletante.
Mon avis
Cet ouvrage m’a été envoyé par les éditions Le Pré aux Clercs, en partenariat avec Babelio, pour promouvoir leur nouvelle collection, Pandore, consacrée à la fantasy Young adult. Eh bien, j’en dis que cette nouvelle collection est une collection à suivre ! Quand on m’a donné le choix entre trois livre et que j’y ai vu le dernier né de Fabien Clavel, auteur que j’apprécie déjà, j’ai bien évidemment répondu présente.
Mais trêve de bla-bla. Parlons de l’Apocalypse selon Fabien Clavel.
Comme à son habitude, l’auteur nous sert ici une histoire simple mais bien ficelée, prenante, intéressante, originale et pleine d’action, avec un style toujours aussi efficace, simple et bien construit. Bref, une lecture aisée, fluide et agréable, qui m’a fait du bien après le challenge Black Man.
On suit l’histoire à travers plusieurs points de vue, ceux des personnages principaux, Ayati et Driss, qui vont chacun se retrouver embringués dans des camps adverses, mais aussi de Noguel, Tumaël, Sammaël et autres, autant de personnages tous différents, éclectiques et plus ou moins touchants, qui nous font découvrir leur monde où le bien et le mal se mêlent sans forcément être bien définis. Fabien Clavel nous dépeint ici avec habileté le combat entre anges et démons sans tomber dans le manichéisme facile qu’on rencontre souvent à ce sujet et c’est, je crois, l’un des principales forces de ce roman.
Pour ceux et celles qui, en voyant les mots « anges », « anges déchus », « Apocalypse », « ultime bataille », craignent de plonger dans une paraphrase des récits bibliques qui tente vainement de faire un truc original de cette histoire vue et revue, pas de panique, ce n’est pas le cas. Les Adversaires est un récit simple, qui mêle fantastique et thriller avec brio et fait passer un excellent moment de lecture dans une atmosphère sombre, certes, mais très addictive.
Mais trêve de bla-bla. Parlons de l’Apocalypse selon Fabien Clavel.
Comme à son habitude, l’auteur nous sert ici une histoire simple mais bien ficelée, prenante, intéressante, originale et pleine d’action, avec un style toujours aussi efficace, simple et bien construit. Bref, une lecture aisée, fluide et agréable, qui m’a fait du bien après le challenge Black Man.
On suit l’histoire à travers plusieurs points de vue, ceux des personnages principaux, Ayati et Driss, qui vont chacun se retrouver embringués dans des camps adverses, mais aussi de Noguel, Tumaël, Sammaël et autres, autant de personnages tous différents, éclectiques et plus ou moins touchants, qui nous font découvrir leur monde où le bien et le mal se mêlent sans forcément être bien définis. Fabien Clavel nous dépeint ici avec habileté le combat entre anges et démons sans tomber dans le manichéisme facile qu’on rencontre souvent à ce sujet et c’est, je crois, l’un des principales forces de ce roman.
Pour ceux et celles qui, en voyant les mots « anges », « anges déchus », « Apocalypse », « ultime bataille », craignent de plonger dans une paraphrase des récits bibliques qui tente vainement de faire un truc original de cette histoire vue et revue, pas de panique, ce n’est pas le cas. Les Adversaires est un récit simple, qui mêle fantastique et thriller avec brio et fait passer un excellent moment de lecture dans une atmosphère sombre, certes, mais très addictive.
Oups, perso j'ai pas vraiment accroché.
RépondreSupprimerTrop Highlander des pauvres ;-)
Bah c'est axé jeunesse, donc je pense que le but c'est que ça soit simple et abordable ;) Cela dit, c'est vrai que c'est parfois traité un peu superficiellement et je comprends tout à fait qu'on n'accroche pas. Mais ça serait dommage que ça te refroidisse envers cet auteur, parce qu'il a pondu de très bonnes choses, par exemple Homo Vampiris et L'Antilégende, qui sont traités avec beaucoup d'originalité ;)
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