En 1964, Lily a quatorze ans et vit en Caroline-du-Sud avec son père, un homme brutal, et Rosaleen, sa nourrice noire. Le décès de sa mère dans d'obscures conditions la hante. Lorsque Rosaleen se fait molester par des Blancs, Lily décide de fuir avec elle cette vie de douleurs et de mensonges. Elles trouvent refuge chez les sœurs Boatwright, trois apicultrices tendres et généreuses dont l'emblème est une Vierge noire. À leurs côtés, Lily va être initiée à la pratique quasi mystique de l'apiculture, à l'affection, à l'amour et à la tolérance.
Mon avis
Après avoir passé trois jours à y réfléchir, je crois que je peux en conclure qu’au final, j’ai peu de chose à dire de ce livre. J’ai bien aimé, sans adorer.
On plonge en compagnie de la jeune Lily dans l’Amérique des années 60, quand les Noirs venaient tout juste d’obtenir le droit de voter (et encore, s’ils osaient) et étaient toujours considérés comme inférieurs. Voilà de quoi traite ce livre : du racisme et de la stupidité de certains, de la maltraitance, de la façon dont on peut manquer d’un père alors qu’il est là, juste à côté, du mal-être d’une adolescente qui a grandi sans sa mère, d’abandon, mais aussi d’amitié, d’amour et de tolérance.
C’est un joli roman qui fait passer un bon moment, Lily est une jeune fille vive et intelligente et on prend du plaisir à la suivre dans son histoire, puis on referme le livre avec un sentiment de satisfaction diffus, un peu comme quand on vient de regarder le film de l’après-midi et qu’on l’a apprécié sans s’y attendre, mais qu’on en aura oublié les détails le lendemain pour ne garder que cette impression plaisante de temps pas vraiment perdu (mais presque). Tu comprends pas grand chose à ce que je viens de raconter ? C’est normal. Après relecture, moi non plus. Mais c’est pas grave, je sais ce que j’ai voulu dire.
On plonge en compagnie de la jeune Lily dans l’Amérique des années 60, quand les Noirs venaient tout juste d’obtenir le droit de voter (et encore, s’ils osaient) et étaient toujours considérés comme inférieurs. Voilà de quoi traite ce livre : du racisme et de la stupidité de certains, de la maltraitance, de la façon dont on peut manquer d’un père alors qu’il est là, juste à côté, du mal-être d’une adolescente qui a grandi sans sa mère, d’abandon, mais aussi d’amitié, d’amour et de tolérance.
C’est un joli roman qui fait passer un bon moment, Lily est une jeune fille vive et intelligente et on prend du plaisir à la suivre dans son histoire, puis on referme le livre avec un sentiment de satisfaction diffus, un peu comme quand on vient de regarder le film de l’après-midi et qu’on l’a apprécié sans s’y attendre, mais qu’on en aura oublié les détails le lendemain pour ne garder que cette impression plaisante de temps pas vraiment perdu (mais presque). Tu comprends pas grand chose à ce que je viens de raconter ? C’est normal. Après relecture, moi non plus. Mais c’est pas grave, je sais ce que j’ai voulu dire.
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