Péchés céruléensC'est ce qui s'appelle tomber de haut. Autrefois, j'étais l'ennemie jurée des vampires, mon nom suffisait à faire trembler les monstres. Aujourd'hui, je suis la maîtresse de Jean-Claude, le vampire Maître de la Ville, et celle de Micah, le léopard-garou. Maintenant, je suis dévorée par les appétits vampiriques et la faim primitive des métamorphes ! Avouez que ma vie amoureuse est devenue un peu compliquée... Mais pour l'heure, Jean-Claude a besoin de moi. La créatrice de sa lignée a envoyé à Saint Louis une de ses servantes les plus puissantes et les plus cruelles. Tout le monde est sur la défensive, mais je ne vais pas me laisser faire. Pour sauver ceux que j'aime, je suis prête à aller très loin...
Mon avis
Il a fallu que je relise la quatrième de couverture pour me souvenir de l’histoire… mauvais signe. Sans aller jusqu’à dire que je n’ai pas apprécié ma lecture, au contraire, j’ai préféré ce tome au précédent, que j’avais trouvé trop fouillis, je trouve que Laurell K. Hamilton est en train de s’embourber dans une histoire sans queue ni tête, particulièrement en ce qui concerne la vie amoureuse d’Anita. En quelques tomes, on est passés de la sainte nitouche qui refuse catégoriquement toute relation sexuelle à la grosse chaudasse polygame. Bien sûr, l’auteure n’a pas oublié la justification à ce revirement de situation, mais je trouve tout ça un peu gros et un peu trop facile… à tel point que tous ces beaux mâles ne me font même plus kiffer, ce que je trouve bien dommage.
Enfin, c’est elle l’auteure, et c’est son choix, alors soit.
Pour en revenir à l’histoire, comme je le disais plus haut, j’avais peur en ouvrant le livre de retrouver le bordel sans nom qui m’avait pas mal perdue dans le tome 10, mais ça n’a heureusement pas été le cas. Il y a une bonne intrigue, plutôt complexe mais qu’on arrive quand même à suivre sans avoir à relire des paragraphe entiers pour retrouver à quel stade on est tombé du bus. Anita reste une des pionnières du genre et j’espère bien pouvoir achever la lecture de cette série… un jour.
Enfin, c’est elle l’auteure, et c’est son choix, alors soit.
Pour en revenir à l’histoire, comme je le disais plus haut, j’avais peur en ouvrant le livre de retrouver le bordel sans nom qui m’avait pas mal perdue dans le tome 10, mais ça n’a heureusement pas été le cas. Il y a une bonne intrigue, plutôt complexe mais qu’on arrive quand même à suivre sans avoir à relire des paragraphe entiers pour retrouver à quel stade on est tombé du bus. Anita reste une des pionnières du genre et j’espère bien pouvoir achever la lecture de cette série… un jour.
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