Nuit de sangJillian était une fille sans histoire jusqu’à ce qu’on la prenne en otage. Désormais, il ne lui reste plus qu’un choix à faire : mourir des mains de Declan, l’assassin dhampire qui la retient prisonnière, ou succomber aux effets secondaires du poison qu’on lui a injecté : la Belladone. Un venin qui fait d’elle l’arme ultime dans la guerre contre les vampires. Le seul espoir de Jill consiste à convaincre son kidnappeur de la relâcher, mais comment toucher le cœur d’un homme qui n’a jamais ressenti aucune émotion ?
Mon avis
Encore un livre que je n’ai pris que parce que c’est un Milady, et parce que la couverture est jolie (l’un allant généralement avec l’autre). Encore un livre de bit-lit qui ne révolutionne pas grand-chose mais qui se laisse lire.
L’héroïne, Jillian, c’est la fille tout ce qu’il y a de plus basique qui se trouve au mauvais endroit au mauvais moment. Là où j’ai apprécié son personnage par rapport aux chaudasses couillues qu’on a d’habitude, c’est qu’elle ne se transforme pas brusquement en une warrior qui déchire tout juste en levant le petit doigt. Malgré ce qui lui arrive, elle reste égale à elle-même, elle ne se met pas à porter des flingues dans son string et dans ses bottes de cuir – elle ne se met même pas à porter des bottes de cuir et autres colliers à clous qui vont avec, dis donc ! –, elle ne se met pas à copuler avec chaque mâle qui passe (et à avoir douze orgasmes d’affilée quand elle le fait), et elle n’acquiert pas brusquement le caractère intraitable de toute héroïne de bit-lit qui se respecte (ou pas, justement). Non, Jillian, reste elle-même, à savoir une gonzesse qui n’aspire qu’à avoir une petite vie tranquille mais qui n’a plus vraiment le choix, alors elle fait avec mais continue de douter, d’avoir peur et d’être juste une gonzesse. La simplicité, c’est rafraîchissant, aussi, des fois.
Sinon, si l’histoire ne bénéficie pas d’assez d’originalité pour qu’on se penche dessus ici, elle reste intéressante, avec une intrigue plutôt bien ficelée et pas mal de rebondissements et de petites révélations qui tiennent en haleine tout du long.
Au final, si je n’ai pas eu de grande révélation (de toute façon je ne m’y attendais pas, de la bit-lit reste de la bit-lit), je n’ai pas été déçue.
L’héroïne, Jillian, c’est la fille tout ce qu’il y a de plus basique qui se trouve au mauvais endroit au mauvais moment. Là où j’ai apprécié son personnage par rapport aux chaudasses couillues qu’on a d’habitude, c’est qu’elle ne se transforme pas brusquement en une warrior qui déchire tout juste en levant le petit doigt. Malgré ce qui lui arrive, elle reste égale à elle-même, elle ne se met pas à porter des flingues dans son string et dans ses bottes de cuir – elle ne se met même pas à porter des bottes de cuir et autres colliers à clous qui vont avec, dis donc ! –, elle ne se met pas à copuler avec chaque mâle qui passe (et à avoir douze orgasmes d’affilée quand elle le fait), et elle n’acquiert pas brusquement le caractère intraitable de toute héroïne de bit-lit qui se respecte (ou pas, justement). Non, Jillian, reste elle-même, à savoir une gonzesse qui n’aspire qu’à avoir une petite vie tranquille mais qui n’a plus vraiment le choix, alors elle fait avec mais continue de douter, d’avoir peur et d’être juste une gonzesse. La simplicité, c’est rafraîchissant, aussi, des fois.
Sinon, si l’histoire ne bénéficie pas d’assez d’originalité pour qu’on se penche dessus ici, elle reste intéressante, avec une intrigue plutôt bien ficelée et pas mal de rebondissements et de petites révélations qui tiennent en haleine tout du long.
Au final, si je n’ai pas eu de grande révélation (de toute façon je ne m’y attendais pas, de la bit-lit reste de la bit-lit), je n’ai pas été déçue.
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