lundi 4 mai 2015

Keleana, tome 1 - Sarah J. Maas


L'assassineuse
Le royaume d’Adarlan, d’où toute magie a été bannie, est gouverné d’une main ferme par un roi tyrannique. Keleana, membre de la secte des Assassins et opposée au pouvoir du roi, est emprisonnée dans les mines de sel d’Endovier depuis plus d’un an. Pour gagner sa liberté, Keleana doit représenter le prince Dorian dans un tournoi à mort dont l’unique survivant devra servir le roi pendant 4 ans. Mais les concurrents, l’un après l’autre, sont éliminés de façon mystérieuse et Keleana sent son tour venir. Manifestement, d’obscures forces magiques ressurgissent dans l’ombre de la cité et la jeune Assassineuse va devoir leur faire face…
Heureusement, elle pourra compter sur l’aide de deux hommes : son entraîneur, le beau capitaine Chaol, et le prince Dorian en personne, qui sont tous deux tombés amoureux d’elle. Et dont les charmes ne la laissent pas indifférente…
Mon avis
Je lorgnais depuis longtemps sur ce livre, qui semblait avoir de bons avis, et surtout dont la couverture m’inspirait. Quand il m’est enfin arrivé entre les mains, je n’ai pas mis longtemps à sauter dessus.
Je n’irai pas jusqu’à dire que ça a été parfait, mais j’ai beaucoup aimé, autant grâce aux personnages qu’à l’ambiance et au fond de l’histoire. Alors certes, n’allons pas jusqu’à dire qu’il s’agit là de grande fantasy épique, mais tu me connais maintenant assez pour savoir que ce n’est pas vraiment ce qui m’intéresse dans un livre : ce que je veux moi, c’est qu’on m’emporte ailleurs, loin, sans m’agresser de trop les synapses, dans une histoire rythmée avec des personnages sympa, de l’action, un peu d’amourette et une touche de mystère. Tout y est. Je regrette juste un peu que Keleana ne tienne pas toutes ses promesses et que sous ses airs de dure à cuire elle reste une post-ado fleur bleue, mais ça ne la rend que plus abordable, au final. Quant aux personnages secondaires, ils sont parfaits, avec une mention spéciale pour Chaol, le capitaine de la garde royale, et quelques taloches au prince Dorian, qui, même s’il est gentil, est plutôt exaspérant, mais c’est aussi ce qui fait le charme du personnage.
A lire quand on est en manque de fantasy divertissante et abordable !

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