Valentine disparue... Qui la cherche vraiment ?
Entre satire sociale, polar contemporain et romance lesbienne, le nouveau roman de Virginie Despentes est un road-book qui promène le lecteur entre Paris et Barcelone, sur les traces de tous ceux qui ont connu Valentine, l'adolescente égarée... Les différents personnages se croisent sans forcément se rencontrer, et finissent par composer, sur un ton tendre et puissant, le portrait d'une époque.
Mon avis
Après avoir tout lu de Despentes, je ne sais trop que penser d'Apocalypse bébé...
Bon, c'est sûr, j'ai aimé, même si j'ai trouvé les 100 premières pages un peu molles. Tous les autres livres de Despentes m'ont mis une claque, celui-là, pas trop. Elle s'est vachement radoucie, je trouve, c'est moins percutant, c'est pas forcément un mal : il y a une certaine douceur dans ces pages qu'il n'y avait pas dans les précédents bouquins, pas autant, pas de la même façon.
Et puis il y a un peu trop de stéréotypes : les gouines, les rebeus, les prolos, les riches, les pauvres filles, les faux lascars... ça sent un peu le mix de toutes ses histoires précédentes. Bon, cette fois, il y a une nouveauté, la nonne, et celle-là elle est pas stéréotypée...
Pour ce qui est de l'histoire, la recherche de Valentine est surtout une bonne excuse pour la rencontre de personnalités, de tranches de vie, racontées comme Despentes sait si bien le faire. À part ça, bon, on se balade à gauche à droite, on voit du monde, et puis pouf la fin, elle m'a un peu laissée sur ma faim...
Mais bon, ça reste Despentes, je la kiffe, son écriture coule des yeux au cerveau sans encombre, alors je suis quand même contente de la retrouver, depuis le temps qu'on s'était pas vues!
Bon, c'est sûr, j'ai aimé, même si j'ai trouvé les 100 premières pages un peu molles. Tous les autres livres de Despentes m'ont mis une claque, celui-là, pas trop. Elle s'est vachement radoucie, je trouve, c'est moins percutant, c'est pas forcément un mal : il y a une certaine douceur dans ces pages qu'il n'y avait pas dans les précédents bouquins, pas autant, pas de la même façon.
Et puis il y a un peu trop de stéréotypes : les gouines, les rebeus, les prolos, les riches, les pauvres filles, les faux lascars... ça sent un peu le mix de toutes ses histoires précédentes. Bon, cette fois, il y a une nouveauté, la nonne, et celle-là elle est pas stéréotypée...
Pour ce qui est de l'histoire, la recherche de Valentine est surtout une bonne excuse pour la rencontre de personnalités, de tranches de vie, racontées comme Despentes sait si bien le faire. À part ça, bon, on se balade à gauche à droite, on voit du monde, et puis pouf la fin, elle m'a un peu laissée sur ma faim...
Mais bon, ça reste Despentes, je la kiffe, son écriture coule des yeux au cerveau sans encombre, alors je suis quand même contente de la retrouver, depuis le temps qu'on s'était pas vues!
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