Le pays des grottes sacréesLa petite orpheline Cro-Magnon recueillie par une tribu Neandertal a fait bien du chemin depuis Le Clan de l'Ours des Cavernes, le premier tome de ses aventures publié il y a maintenant trente ans. Ayla vient de mettre au monde une petite fille prénommée Jonayla, et a été peu à peu adoptée par les membres de la Neuvième Caverne, le clan de son compagnon Jondalar. A tel point que la Zelandoni, guérisseuse et chef spirituel de la Neuvième Caverne, la choisit pour lui succéder un jour. Pour parvenir à cette fonction, Ayla suit pendant plusieurs mois la grande prêtresse. Son initiation passe notamment par la visite des nombreuses grottes ornées de la région, l'occasion pour l'apprentie Zelandoni de découvrir des sites magnifiquement décorés, dont elle apprend à comprendre le sens. Cette formation, jalonnée de rites de passage, n'a rien d'une promenade de santé, et Ayla devra franchir bien des obstacles avant de devenir Zelandoni. Saura-t-elle trouver un équilibre entre ses obligations de jeune mère et d'épouse et les exigences de son apprentissage ? L'amour de Jondalar et d'Ayla résistera-t-il à tant d'épreuves ?
Mon avis
Le final, 9 ans après! Un sacré pavé, que j'ai mis un mois et demi à lire... mais comme tous les pavés de Jean M. Auel, ça en valait la peine!
Toujours très intéressant d'un point de vue culture générale, pour qui s'intéresse à la préhistoire, à nos lointains ancêtres, leurs outils, leur art, leur façon de vivre. Nous ne pouvons avoir aucune certitude quant à ce qu'il se passait dans la vie des Hommes il y a plus de 35000 ans, mais je trouve que Jean M. Auel en a une vision tout à fait réaliste et vraisemblable, basée sur une documentation qui a de toute évidence demandé un travail titanesque, une passion de toute une vie.
Des souvenirs qui me restent des cinq précédents tomes de la saga des Enfants de la Terre, les aventures d'Ayla étaient palpitantes, à couper le souffle. Dans ce dernier tome, la première moitié (plus de 300 pages tout de même...) m'a fait un peu peur : je n'y ai rien trouvé de bien palpitant, c'est très, très descriptif, parfois trop, redondant aussi, ça m'a plus fait penser à une biographie exhaustive qu'à un roman. Heureusement, la seconde partie rattrape tout ça, j'ai enfin retrouvé la fantastique Ayla, accompagnée de Jondalar, Jonayla et de ses animaux, et sa vie toute en rebondissements. Eh oui, c'était il y a 35000 ans mais il n'empêche qu'il devait s'en passer des choses, dans la vie de nos ancêtres, et ils n'en étaient pas moins humains, avec les mêmes sentiments que nous pouvons ressentir, et les mêmes problèmes, à des degrés différents, bien sûr.
En bref, un final à la hauteur de cette fantastique saga dans laquelle tout le monde devrait se plonger un jour.
Toujours très intéressant d'un point de vue culture générale, pour qui s'intéresse à la préhistoire, à nos lointains ancêtres, leurs outils, leur art, leur façon de vivre. Nous ne pouvons avoir aucune certitude quant à ce qu'il se passait dans la vie des Hommes il y a plus de 35000 ans, mais je trouve que Jean M. Auel en a une vision tout à fait réaliste et vraisemblable, basée sur une documentation qui a de toute évidence demandé un travail titanesque, une passion de toute une vie.
Des souvenirs qui me restent des cinq précédents tomes de la saga des Enfants de la Terre, les aventures d'Ayla étaient palpitantes, à couper le souffle. Dans ce dernier tome, la première moitié (plus de 300 pages tout de même...) m'a fait un peu peur : je n'y ai rien trouvé de bien palpitant, c'est très, très descriptif, parfois trop, redondant aussi, ça m'a plus fait penser à une biographie exhaustive qu'à un roman. Heureusement, la seconde partie rattrape tout ça, j'ai enfin retrouvé la fantastique Ayla, accompagnée de Jondalar, Jonayla et de ses animaux, et sa vie toute en rebondissements. Eh oui, c'était il y a 35000 ans mais il n'empêche qu'il devait s'en passer des choses, dans la vie de nos ancêtres, et ils n'en étaient pas moins humains, avec les mêmes sentiments que nous pouvons ressentir, et les mêmes problèmes, à des degrés différents, bien sûr.
En bref, un final à la hauteur de cette fantastique saga dans laquelle tout le monde devrait se plonger un jour.
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