Cavalier rouge : EdoLa fin du monde est proche. Ils sont quatre jeunes de 17 ans : Alice, Edo, Maximilian et Elias. Ils sont les Cavaliers de l'Apocalypse. Ils n'épargneront que 144 000 âmes. En ferez-vous partie ?
« Je me suis éloigné tranquillement et, dans mon sillage, le ciel continuait de se déchaîner, la terre n’en finissait pas de se lézarder, d’éclater comme un fruit trop mûr. La nuit avait l’air d’un trou béant qui avalait tout.
Je suis remonté sur ma moto et j’aurais pu jurer que, sous sa roue arrière, le bitume crevait. Les flammes couraient derrière moi et embrasaient les vignes, les arbres, les maisons. Pas pour me rattraper et m’allumer. Plutôt pour m’escorter. La traîne de la mariée, la dentelle en moins, les cris et la mort en plus. Après moi, le déluge, comme dirait l’autre. L’autre, en l’occurrence, c’était moi. »
Mon avis
*Flashback – lu en décembre 2013*
Après la très légère déception du tome 1, voilà exactement ce à quoi je m’attendais avant de commencer cette série. Ce second tome est porté par Edo, le Cavalier rouge, ou la Guerre. Edo est un jeune homme qui en a chié, qui en chie encore mais qui fait ce qu’il peut pour s’en sortir. C’est un personnage violent, brutal, sans concession, et en même temps tendre et bourré d’humanité. J’ai passé les quelques heures qu’a duré ma lecture à serrer les dents, à m’en faire pour lui, à l’encourager, la boule au ventre et souvent la larme à l’œil. Je me suis attachée à lui sans réserve et c’est avec angoisse que j’ai vu le nombre de pages restantes diminuer à vue d’œil… la seule déception que j’ai ressentie en refermant le livre c’est celle de ne pas en avoir encore un peu plus à me mettre sous la dent (malgré les trois tomes qui suivent… mais je savais qu’Edo n’y serait pas, ou très peu).
En bref, un réel coup de cœur pour ce second tome, essentiellement grâce à son personnage principal, mais aussi l’histoire, rythmée et pleine de rebondissements, l’ambiance, sombre et violente et pourtant pleine d’humanité, et les personnages secondaires, qui n’ont pas été oubliés et sont construits à la perfection.
Après la très légère déception du tome 1, voilà exactement ce à quoi je m’attendais avant de commencer cette série. Ce second tome est porté par Edo, le Cavalier rouge, ou la Guerre. Edo est un jeune homme qui en a chié, qui en chie encore mais qui fait ce qu’il peut pour s’en sortir. C’est un personnage violent, brutal, sans concession, et en même temps tendre et bourré d’humanité. J’ai passé les quelques heures qu’a duré ma lecture à serrer les dents, à m’en faire pour lui, à l’encourager, la boule au ventre et souvent la larme à l’œil. Je me suis attachée à lui sans réserve et c’est avec angoisse que j’ai vu le nombre de pages restantes diminuer à vue d’œil… la seule déception que j’ai ressentie en refermant le livre c’est celle de ne pas en avoir encore un peu plus à me mettre sous la dent (malgré les trois tomes qui suivent… mais je savais qu’Edo n’y serait pas, ou très peu).
En bref, un réel coup de cœur pour ce second tome, essentiellement grâce à son personnage principal, mais aussi l’histoire, rythmée et pleine de rebondissements, l’ambiance, sombre et violente et pourtant pleine d’humanité, et les personnages secondaires, qui n’ont pas été oubliés et sont construits à la perfection.
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