Meurtre à ShakespeareJe m'appelle Lily Bard et je mène une petite vie tranquille à Shakespeare, Arkansas, où je me suis installée pour oublier mon passé. Aujourd'hui, tout a changé. En rentrant, j'ai fait une macabre découverte : le cadavre de mon propriétaire.
Après avoir paniqué et mis mes empreintes partout, je me suis éclipsée... Je n'ai plus le choix, il faut que je retrouve l'assassin avant que l'on ne vienne sortir les squelettes de mon placard...
Mon avis
*Flashback – lu en septembre 2013*
Ici, Charlaine Harris s’attaque au polar et, si ce n’est pas mon genre de prédilection, elle a réussi à me convaincre. Si le fond de l’histoire ne révolutionne pas le genre, ce qui m’a surtout plu ici, c’est l’ambiance et les personnages, surtout l’héroïne, Lily qui, tout comme Harper mais – heureusement – contrairement à Sookie, est relativement équilibrée malgré son passé plutôt lourd, sensée, mature et intelligente. Je sais, j’ai pris Sookie en grippe et j’exagère peut-être un peu, mais j’y peux rien, 13 tomes c’était trop et surtout, je ne peux m’empêcher de garder en tête son interprétation désastreuse dans la série télévisée.
Enfin, c’est de Lily qu’on est censés parler. Lily m’a donc semblé sympathique, abordable et bien moins écervelée et rien que pour ça, j’ai apprécié ce premier tome de ses aventures. Ici, point de fantastique, pas de pouvoirs extraordinaires qui se révèlent comme par hasard quand on en a besoin ni de politique vampiresque à t’en assommer un troll, seulement une affaire de meurtre dans un patelin du fin fond des États-Unis. Comme je le disais, l’intrigue elle-même ne m’a pas laissé de souvenir inoubliable, mais ça m’a fait passer un agréable moment de lecture qui m’a réconciliée avec cette chère Mme Harris.
Ici, Charlaine Harris s’attaque au polar et, si ce n’est pas mon genre de prédilection, elle a réussi à me convaincre. Si le fond de l’histoire ne révolutionne pas le genre, ce qui m’a surtout plu ici, c’est l’ambiance et les personnages, surtout l’héroïne, Lily qui, tout comme Harper mais – heureusement – contrairement à Sookie, est relativement équilibrée malgré son passé plutôt lourd, sensée, mature et intelligente. Je sais, j’ai pris Sookie en grippe et j’exagère peut-être un peu, mais j’y peux rien, 13 tomes c’était trop et surtout, je ne peux m’empêcher de garder en tête son interprétation désastreuse dans la série télévisée.
Enfin, c’est de Lily qu’on est censés parler. Lily m’a donc semblé sympathique, abordable et bien moins écervelée et rien que pour ça, j’ai apprécié ce premier tome de ses aventures. Ici, point de fantastique, pas de pouvoirs extraordinaires qui se révèlent comme par hasard quand on en a besoin ni de politique vampiresque à t’en assommer un troll, seulement une affaire de meurtre dans un patelin du fin fond des États-Unis. Comme je le disais, l’intrigue elle-même ne m’a pas laissé de souvenir inoubliable, mais ça m’a fait passer un agréable moment de lecture qui m’a réconciliée avec cette chère Mme Harris.
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